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Qui m'aime me suive...
15 mai 2007

J+11, premières impressions de Montréal.

Je ne sais pas si j'aurai assez des 2h30 qui me restent pour tout vous raconter, mais je vais essayer de rattraper le temps (pas perdu pour moi en tout cas) en vous retraçant mes péripéties des derniers jours... Je me suis inscrite aujourd,hui à la Grande Bibliothèque du Québec ici à Montréal, et en plus de pouvoir y emprunter livres, CD et DVD, je vais pouvoir me connecter à internet 9h par semaine, gratuitement, à raison de trois fois trois heures, dont voici la première session.
Dimanche soir, mon colocataire m'avait laissé son ordinateur. Il allait au cinéma avec un ami ce soir là, alors j'en essayé d'en profiter pour tout écrire. Le film durait trois heures (ils allaient voir le dernier David Lynch)… Je pensais que cela m'aurait suffit pour vous raconter tout ce que j'ai fait depuis dix jours,… déjà dix jours que je suis arrivée ici. Mais en fait au bout d'à peine une demi heure je suis tombées de sommeil.

DSC_2576__800x600_Commençons donc par le commencement. Je suis donc arrivée jeudi 3 mai 2007 à Montréal. Au départ de Paris j'avais pris le soin de me munir de victuailles pour le voyage car j'étais persuadée que les repas étaient payants dans le vol charter que je prenais. En fait point du tout. Ce sont juste les barres chocolatées (snacks) et l'alcool qui l'étaient et il nous a été servi deux repas. Conclusion je suis arrivée à la douane canadienne avec des denrées alimentaires interdites : deux sandwichs jambon de pays, beurre, tomate, salade… et deux pommes. Heureusement, je n'ai pas considéré la chose avec légèreté. Vu que je n'ai jamais je chance avec les douaniers, j'ai décidé d'y aller franco et de le déclarer. Bien m'en a pris puisque mes bagages ont été fouillés, et que les denrées m'ont été confisquées pour être détruites… et que si je ne les avais déclarées j'aurai écopé, en plus de la saisie (qui m'en a coûté tant ils étaient alléchants), d'une amande de 150$ canadiens. Vu que j'avais quitté Paris avec environ huit euros en poche, quatre euros sur mon compte courant dans l'attente de multiples rentrées d'argent, et quatorze dollars US que j'avais gardé au chaud depuis la venue de Leslie de Las Vegas en Guadeloupe en janvier… j'aurais été bien embêtée de devoir payer une contravention !
En tout cas, dès le hall d'arrivée je me suis précipitée dans un bureau de change pour changer en dollars canadiens ma fortune, et je suis ainsi arrivée à Montréal avec 18$CAN dans ma bourse, fortune qu'il a fallut que je fasse durer le plus longtemps possible…
En effet, les rentrées d'argent tant attendues sur mon compte n'ont été disponibles que le mardi 6 mai. Fort heureusement j'ai été accueillie royalement par Kim Soo, un ami rencontré il y a déjà sept ans à la résidence universitaire Jean Mermoz de Wattignies près de Lille et avec qui j'ai gardé contact par émail toutes ces années.

Kim Soo était même là à ma rencontre à l'aéroport. Michèle, sa "blonde" (qui est brune; "blonde" signifie "petite amie") a une voiture et nous avons regagné rapidement le centre ville et DSC_2602__800x600_l'appartement de Kim où j'ai été hébergée les deux premières nuits. Il faisait déjà beau et je n'ai même pas eu besoin de mettre ma polaire. Je suis arrivée ici avec le printemps et toutes les personnes que je rencontre me font immanquablement la même remarque : "tu arrives à la bonne/belle saison". Ce à quoi je m'abstiens de répondre que c'était quand même plus ou moins calculé, même si au départ je pensais partir début avril, il n'a jamais été question que je débarque en plein hiver ! Pas folle la guêpe. (sur la photo, les premiers bourgeons se sont épanouis la semaine de mon arrivée)
Dès mon arrivée, j'ai résolu de ne pas succomber au sommeil qui me tenta
it. Mon avion a atterrit à 13h10, avec un peu d'avance. J'ai fait la queue une bonne demi heure au bureau de l'immigration pour obtenir le document officiel du Permis Vacances Travail. Les guichets ont été soudainement si débordés par l'arrivée de mon vol que le douanier qui m'a reçu m'a un peu expédié : je lui ai tendu tous les papiers dont il m'avait été dit que je devrait les présenter à la frontière et il me les a rendu sans les contrôler, chuchotant qu'il n'avait pas le temps... qu'il y avait trop de monde... il a quand même pris le temps tout en imprimamt mon permis de travail, de faire la conversation aevc moi et de répondre à mes question. Est-ce qu'il a toujours autant de monde qui se présente à l'immigration sur chaque vol qui atterit ?... Il semble que cela soit par période : aux débuts de sessions universitaires (mai, septembre et janvier), sur les vols qui viennent de pays éligibles au P.V.T.... et que cela varie beaucoup.
DSC_2549__1600x1200_Une fois récupérés mes baggages, changée ma fortune, et remplie ma contravention pour introduction de denréees alimentaires sur le territoire canadien,... j'ai très vite retrouvé Kim et Michèle. Vers 15h nous étions chez Kim et à 16h nous déambulions déjà dans les rues de Montréal. Il m'a fait la visite du quartier où j'habite depuis, très central, plûtot populaire : le plateau Mont-Royal. En fait il y a habité quelques années alors il m'a présenté les épiceries, les rotisseries, les sandwicheries, les boulangeries pas chères... Nous sommes passés chez mon futur coloc qui n'était pas là. Et nous avons ainsi marché près de trois heures, moi en tongues. je ne quitte plus mes tongues. Toute autre chaussure que je mets me provoque des ampoules immondes. Alors dès que je peux, même quand je ne devrais pas, je mets mes tongues... et quand je n'ai pas le choix, je recouvre mes pides de pansements anti-ampoules avant d'enfiler toute autre paire de chaussure...
Jeudi soir nous avons dîner tranquillement. Sur internet Kim Soo m'a trouvé deux offres d'emploi intéressante, sur le site de son université : un poste de coordinateur d'activités socio-culturelles autour de la réalisation d'un projet audiovisuel par des ados, et un poste de chargé de mission pour l'institut des statistiques de l'UNESCO orienté autour du secteur cinématographique, pour consolider une base de donnée et organiser une enquête. Génial, non ? Je ne me suis pas couchée trop tard, car cela faisait tout de même 21 heures que j'était debout... ce qui n'est pas non plus le pire qui soit, mais qui est déjà pas mal. Le pire c'est quand on s'impose de tenir la journée éeveillé alors qu'on vient de passer une nuit blanche dans l'avion, parce qu'on a voyagé d'ouest vers l'est sur une longue distance, tout cela pour se caller dès le lendemain sur le rythme local à l'arrivée; ce que j'ai fait en arrivant à Paris début avril.

DSC_2550__800x600_Vendredi 4  mai 2007, après un super petit déjeuner (quasi un brunch), et une longue héasitation sur le programme a suivre, Kim ayant pas mal de soucis à gérer alors, nous sommes allés à la bibliothèque de son université (l'université de Montréal) où nous avons pu tous les deux travailler : lui sur sa déaclaration d'impôts sur le revenu (qui m'a l'air bien compliquée ici, en plus du fait qu'elle est double : fédérale et provinciale), et moi à rédiger des lettres de motivations pour postuler aux offres d'emploi qu'il m'avait déjà trouvé la veille.
Vers 14h nous avons fait une pause à la cafétéria de l'école de commerce toute proche (et qui s'appelle H.E.C.), endroit où je me suis sentie un peu perdue, entre le monde qu'il y avait, et le fonctionnement du self-service (qu'est-ce qui rentre dans le menu ou pas), et les pièces de monnaies auxquelles je n'était pas encore habituée... mais je m'en suis sortie.
D'ailleurs à ce propos, la première semaine, j`'ai accumulé jusqu'à 25$CAN dans mon porte monnaie, le tout en pièces de 2, 1$, mais surtout 25, 10, 5, 1 cents. A ne plus savoir qu'en faire. Les pièces de 5 sont plus grosses que les pièces de 10 : à n'y rien comprendre, et les pièces de 1 cent sont plutôt difficiles à placer même s'il arrrive souvent qu'on vous en refourgue parce que le montant de ce que vopus achetez n'est pas un multiple de 5 cent. Finnallement j'ai réussi à résorber cette hémo
ragie en prenant le temps de comter mes sous quand j'arrivais à la caisse, et je sais désormais qu'il n'y a bien que les pièces de 25 cents qui soient utiles... dans les cabines téléphoniques qui sont toutes à pièce (et à carte) et qui nécéssitent une pièce de 25 cent pour un appel local.
Avant de quitter l'université nous avons visité une exposition située dans la bibliothèque. Il s'agissait des projets de fin d'étude de la promo de l'école d'architecture. Nous avons retrouvé là une amie de Kim, Sophie, qui en fait partie : elle nous a expliqué son projet de parlement québecquois greffé à la tour de l'Horloge sur le quai de l'Horloge qui continue le quai Jacques Quartier en bord du fleuve Saint-Laurent à Montréal. Un projet très conceptuel, développé à partir de la notion de Démocratie : ses explications sont passionnantes, très documentées, trés argumentées, trés cohérente, et personnelement, le bâtiment m'a plu. Le bâtiment serait censé s'étaler tout le long du quai comme une colonne vertébrale dont chaque vertèbre serait un bureau de député, chque député bénéficiant du même espace de travail, et de la même vue sur le fleuve. En sous-sol, l'administration, base de toute institution, au rez-de-chaussée une promenade ouverte au citoyen, avec en entrée un espace culturel et pédagogique, et accroché au bâtiment, des espaces plus volumineux et
difféerents : la bibliothèque, entre autre, et surtout la salle où se réunit l'assemblée, et ou elle a voulu que ne se ressente ni la notion d'opposition, ni celle de hiérarchie avec un président perché sur un pied d'estale, au point où ses rangées de sièges sont des arc de cercle qui s,imbriques les uns dans les autres, forment presque une spirale, sans qu'aucun ne pertage le même centre, et sans que l'espace ne soit ni formalisé, ni fermé... Elle a même prévu dans son projet un espace d'où le citoyen peut assister librement et confortablement aux débats comme à un spectacle. J'ai vraiment trouvé son idée formiadable, bien que son aspect conceptuel poussé à l'extrême empêche que sa symbolique artistique ne soit directement lisible dans l'architecture du bâtiment. Enfin.
Il y avait là un autre projet, qui apparemment avait remporté tous les prix et les concours, et que j'ai trouvé en effet très impressionnant : il s'agissait d'un projet de salle de spectacle multi-fonctions et transformable. Un peu comme une fleure à quatre pétales, qui quand ses gradins sont orientés vers l'intérieur sert de stade ouvert, quand ses gradins sont verticaux, sert de salle de concerts, et quand ses gradins sont renversées vers l'extérieur, sert au circuit de formule 1 de Montréal, la piste automobile étant tout autout de l'édifice. Un projet fou, impressionnant !

DSC_2583__800x600_DSC_2582__800x600_DSC_2585__800x600_
Kim, Michèle et le festin.

Vendredi soir Kim avait rendez-vous pour dîner avec Michèle. Je pensais rester me reposer chez lui en son absence, et ne pas les déranger dans leur soirée en amoureux, et en fait quand nous sommes rentrées chez lui vers 18h Michèle l'attendait, et nous avons tous dîner là, après avoir fait un saut au supermarché du coin pour compléter le festin. Qu'il soit dit en passant que je me suis régalée ce soir là : Kim avait fait griller du saumon, fait revenir des légumes au wDSC_2572__800x600_ok, et préparé des épinards frais à la poèle, le tout accompagné de riz, et d'un condiment asiatique délicieux dont j'ai oublié le nom : du choux masséré dans du piment. Ce fût un festin de rois.
Plus tard dans la soirée, un ami de Kim est passé : David. Les discussions sont allées bon train et Kim a dû "chasser" tout le monde à une heure du matin passé... Littérature, cinéma, langue française, histoire du québec, télévision et dessins animées diffusés en France... Nous avons même parlé d'amour car David vit depuis plusieurs années avec une allemande qu'il a rencontré à Paris l'année où il y a vécu, et dont il est séparé la plupart du temps puisqu'elle vit en allemagne... étrange relation à distance qui semble durer, non sans un certain nombre de frustrations, et tout en en reconnaissant les limites, dans une grande lucidité. Enfin.

Samedi 6 mai 2007, je me suis levée tard. Kim m'avait à nouveau préparé un véritable brunch en guise de petit déjeuner, ce qui m'a permis de tenir tout l'après-midi que j'ai passée seule, à me promener au hasard des rues du Vieux Montréal. En fait je me suis rendue compte en en parlant ensuite que je n'avait rien vu du Vieux Montréal. D'abord parce que sans sous en poche, je me suis contentée de me ballader parmi les touristes très nombreux mlgré le vent très frais qui sévissait. Ensuite parce que ayant reconnu l'horloge du projet architectural de Sophie, je me suis dirigée directement vers elle. Aussi parce que mon intérêt a été retenu par un spectacle de rue impressionnant : une sorte de fakir en kilt et à dread locks qui avec beaucoup d'humour et d'autodérision, escaladait une échelle dont chaque barreau était un sabre extrêmement tranchant. je suis restée au moins une heure à regarder son spectacle, interloquée, et du coup j'ai surtout pris mon temps ensuite pour mesurer l'ambiance de ce quartier hyper touristique, sans trop me préoccuper des aspects historiques et culturels du coin.
Quand je suis rentrée, en métro, je suis passée par la rue où je pensais qu'habitais mon copain Albert, l'ayant trouvé dans un vieux botin le matin même, mais visiblement il n'y vit plus. Est-il encore à Montréal ?... vu qu'il ne répond pas à mes emails, et qu'il ne figure plus dans le botin (après vérification sur internet), je n'en saurait peut-être jamais rien. Bref. En rentrant j'ai croisé Kim qui rentrait d'une sortie sportive à vélo et à pied dans le Parc Mont-Royal... et après qu,il ait pris une couche nous nous sommes chargés de mes baggages, et nous sommes rendu chez moi ! Ou du moins était-ce, pour commencer, un dîner chez Ludovic.
DSC_2614__800x600_Charmante soirée, à mager des crèpes, et à discuter à bâtons rompus avec Héloïse, charmante jeune femme dont j'ai fait la connaissance ce soir là, amie commune deDSC_2609__800x600_ Ludovic et Kim Soo, étudiant française en doctorat de philosophie, et fraîchement revenue de vacances au Chili, chez son frère qui vit précisément sur l'île de Chiloé. Bref, nous avons trouvé amplement matière à partager des points de vue : sur le voyage, les cultures, les presidentielles en France, etc... et ce tout en se délectant des crèpes de Ludovic, qui est breton et qui visiblement sait y faire en matière de crêpes, salées, puis sucrées.
J'ai donc pris mes appartements dans une chambre de sont appartement, et j'ai d'ailleurs passé les premiers jours seule, car il partait dès le lendemain à un colloque où de nombreux doctorants présentaient leurs travaux, dans la ville de Trois-Rivières, et ce jusqu'au mercredi prochain.

Dimanche 6 mai 2007, après un réveil tardif parce que coucher tardif... la journée a débuté par mon premier appel téléphonique chez moi à Montréal : Papa et Maman ! Ensuite j'ai déballé mes affaires : j'ai rangé mes quelques babioles dans le placard. Cela a été vite vu ! Puis Ludovic m'a fait le tour du propriétaire pour me montrer comment fonctionnent les appareils électroménagers afin que je ne sois pas perdue en son absence : rien de bien extraordianire, mais cela semblait lui faire plaisir. Il était invité à midi à un brunch chez des amis. Il m'a laissé en son absence accès à internet sur son ordinateur : j'ai un peu dépouillé ma boîte email bondée de messages. Puis je suis sortie voir si je pouvais retirer de l'argent. Il s'est avéré que non. Alors j'ai passé au moins une heure dans une superette de quartier à calculer entre le rayons riz, sauces tomates, et saucisses de strasbourg... quels produits je pouvais acheter avec les 8$CAN qui me restaient...
DSC_2660__800x600_Et puis j'ai passé ma soirée devant la télévision, ce que je ne referait peut-être plus jamais, parce que maintenant à chaque fois que j'allume la télé ici je la trouve débile, mais ce soir là, comme je ne la connaissais pas encore, et qu'en plus j'ai eu la chance de tomber sur trois super films, j'étais encore dans une phase découverte culturelle, et j'ai regardé tout et n'importe quoi : les infos façon FOX qui racontent comment sarkozy est le président le mieux qui soit arrivé à la France depuis longtemps, la publicité façon "comme partout ailleurs", les jeux télés quebequois, c'est-à-dire les même qu'en France, mais avec des noms différents, et un niveau culturel parfois inférieur. Exemple, La Cible, devient Le Cercle, et en finale, les questions sont hypra simple : du genre, de quel parti éetait l'ancien président Bill Clinton, ou, citez trois états des Etats-Unis qui termine par le son "O"... non mais vraiment ! Sinon eh bien, Loft Sory a survécu ici, et une nouvelle saison reprend en septembre. Que le meilleur gagne aussi, même si c'est sans Nagui. Pekin Express existe dans une version tour du monde : j'ai vu la finale, et celels qui sont arrivées en troisième position étaient deux cousines dont l'une est une "personne de petite taille"... pour faire bien dans les quotas de représentativité des minorités certainement. Curieusement le gars qui présente l'émission ressemble beaucoup à celui qui présente Pékin Express en France. Le casting de toute façon, c'est Endémol qui le fait ! Y'a pas de mystère. Et même les séries à succès ici c'est les mêmes qu'en France, sauf qu'ici, au cinéma comme à la télé, ils ont le culot de traduire en français les titres qui claquent pourtant en anglais : Prison Break devient La Grande Evasion, Desperate Housewives devient Beautés Désespérées, Lost devient Perdus... Ici le français se pratique sans complexes ! Pour voir la Nouvelle Star par contre il faut zapper sur les chaînes anglophones, voir américaines, et croyez moi, le niveau de American Idole est mille fois inférieur à celui de la version française de cette émission. En ce moment ce sont les phases finales, et les concurents qui restent sont vraiment, mais vraiment nuls : chantent faux, aucun charisme, attitudes maniérées... enfin, même la mise en scène de l'émission m'a semblé inintéeressante, très classique, comme celle de la première année en France, et du coup j'ai préféré zapper... Le seul bon truc que j,ai vu, enfin, c'est vite dit,... la seule émission que j'ai trouvé agréable à regarder pour l'instant, c'est une émission de proximité de Radio Canada, qui s'appelle Des Kiwis et des Hommes et qui est présentée en tandem par un blanc et un noir... à suivre.
Mais bon, ici à Montréal les bibliothèques et les piscines sont gratuites !... Allez comprendre la logique de la politique culturelle !

Lundi 7 mai 2007, je suis restée presque toute la journée cloîtrée dans la maison. Entre deux sortie sur Saint-Laurent, une fois vers le sud, une fois vers le nord, pour trouver le distributeur qui accepterai de me donner de l'argent. Toujours rien. Alors je me suis contentée de me faire du riz à la sauce tomate avec des saucisses de strasbourg... que j'ai même agréemeté de moutarde de dijon pour améliorer la saveur très moyenne du tout... laquelle moutarde appartenait à Ludovic. Il m'avait autorisé à mager ce que je voulais dans son rigo en son absence, mais je n,ai osé toucher qu'à la moutarde... Comme de bien entendu e fût encore une journée à regarder la télé, et surtout à dormir. C'est fou ce qu'on peut dormir quand on a rien à faire ! J'ai écrit dans mon journal les choses que je ne peux pas dire ici, j'ai passé quelques coups de fils pour me distraire, dont un à ma soeur qui m'a fait le plus grand bien.
Les trois heures de connexion  à internet gratuites dont je bénéficie pour la journée à la bibliothèque sont presque terminées, et je ne vous ai raconté que la moitié de ce que je devais, alors je vais peut-être continuer dans un cyber café, pour en finir avec ce retard aujourd'hui ! A moins que je n'aille prendre l'air et que je ne revienne ici demain matin...

Voili, voulou.

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