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Qui m'aime me suive...
26 juin 2007

Chicago... premier contact avec les United States of America !

i6930211_1_LangerEn fait le tout premier contact avec les Etats-Unis d'Amérique cela a été le passsage de la frontière et les douanes états-uniennes. Dur, dur... J'avais été avertie par une amie que les français devaient payer une taxe de 6$US alors avant de partir j'avais fait du change en prévision... mais je ne savais pas qu'il fallait pouvoir fournir une adresse de résidence dans le pays... et en l'occurence je ne connaissais absolument pas l'adresse de Kelly, l'amie qui me recevait à Chicago, et quand à New York, n'en parlons pas, j'avais prévu de faire du couch surfing et je n'avais encore trouvé personne. Je me suis donc trouvée fort démunie quand le douanier m'a demandé de remplir le formulaire et que je n,avais rien à inscrire à la case adresse où vous aller resider aux U.S.A.. le pire c'est que je suis tombée sur le plus aimable et le plus sexi des douaniers... si vous voyez ce que je veux dire. Je ne sais pas s'ils sont tous comme ça mais le mien avait l'air de sortir tout droit d'un film de Quentin Tarantino ou d'Abel Ferrara... Genre cheveux intégralement blanc, coiffés en espèce de banane, mais pas du genre qui tombe sur le front... non en fait c'est cheveux faisaient une sorte de vague très haute le long de la délimitation de son incarnation capilaire, et le tout maintenu et lissé par une dose abondante de laque. Il n'avait pas l'air si vieux que cela malgré ses cheveux blancs comme la neige... au contraire il avait la peau très lisse et comme tirée ou couverte d'un film plastique, et de petit yeux crispés sous des sourcils froncés... il ressembalit à un vrai maniaco-sado-pervers-frustré, et c'est ainsi qu'il a agit avec moi. Quand je lui ai expliqué poliment (précisons qu'il était tout de même deux ou trois heures du matin) que je ne connaissais pas l'adresse où j'allais résider mais que je pouvais téléphoner à mon amie pour lui demander, il m'a demandé froidement si j'avais un téléphone cellulaire, j'ai dit très calmement et presque mieleusement que non mais qu'il devait bien il y avoir un téléphone public, il m'a rétorqué sèchement que non. Après un long silence, et je commençais réellement à baliser, il m'a demandé si je n'allais pas visiter de musées... j'ai dit que oui bien sure, ne comprenant pas trop où il voulait en venir, mais cela m'a donné une idée. J'ai sorti mon guide touristique de New York que j,avais acheté avant de partir de Montréal pour mieux planifier efficacement ma visite de la ville (chose que je fais rarement) et j'ai commencé à le feuilleter comme pour trouver une adresse d'hotel ou d'auberge de jeunesse quelconque, car il était bien clair que sans cette adresse je pouvais retourner illico à Montréal. Le truc c'est que le guide que j'ai acheté ne comprenais aucune adresse. Ce n'est pas un guide pratique mais un guide culturel. Conclusion, après quelques hésitations, encore de longs silence, et voyant mon charmant douanier s'impatienter... j'ai recopié soigneusement l'adresse de l'Empire State Building sur le formulaire, 302, 5th avenue, New York (je n'ai pas ocsé mettre celle de Ground Zero, anciennement Twin Towers... cela aurait été de la provocation et je passais déjà un suffisemment désagréable moment). Il m'a alors présenté un appareil pour prendre les empreintes digitales de mes deux index, puis a pris une photo de moi (à trois heures du mat quand vous n'avez pas beaucoup dormi... vous comprenez mieux la sale tête des photos sur les avis de recherche quand des étrangers sont soupçonnés de terrorisme et que leur bobine est diffusée en boucle dans les infos États-uniennes...), et puis il a relu mon formulaire : " So, the adress where we can find you during your journey here is 302, 5th avenue, New York... New York City in New York State ?" - " Yes sir !" que je lui réponds... et hop ! il a tamponné mon papier, en a détaché une partie, l'a agraphée dans mon passeport... et voilà, je suis entrée pour la première fois de ma vie, tant bien que mal, aux États-Unis d'Amérique. Et devinez jusqu'à quelle date j'aurai pu y rester si j'avais voulu étant donné que je suis rentrée le 12 juin 2007 et que les français sont libre d'y circuler trois mois sans visa s'ils ont un passeport électronique ??? Le 11 septembre 2007. Effrayant, non ?

DSC_3771Je suis arrivée à Chicago avec une demi heure de retard, la tête dans le cul, et Kelly avait loué une voiture pour venir me chercher au Terminal de bus. Puis elle est allée au travail. J'ai dormi toute la matinée, et puis je l'ai rejointe plus tard au centre ville à la sortie de son travail pour commencer à explorer la ville.

DSC_3785Chicago est une ville superbe. Une ville moderne, une ville de grattes ciels, mais une ville propre, bien organisée, et dont les batiments aussi élevés soient-ils datent parfois du 19ème siècle et ont du coup tout le charme de l'architecture nord-américaine de cette époque. Je vous laisse aprécier les photos dans l'album que j'y consacre, mais vraiment c'est une ville que je recommanderai de visiter. En plus l'ambiance y est no stress, et il y a des tas de choses gratuites à y faire : concerts, projections de films dans les parcs et jardins, ou dans des sentres culturels, festivals de danse, expositions... Il y a un réseau de trolley gratuits qui permettent d'explorer le centre ville aisément. Et même le métro (qui est pour la plupart aérien) est pas cher. J'ai acheté une carte de transports illimités valable cinq jours pour 18$. Quand le ticket à l'unité pour un trajet est à 2$, c'est largement rentabilisé.
Les bords du lac comprennent de nombreux espaces verts et des plages. Autour du centre ville qui est une énorme concentration de grattes ciels, il y a toute une ceinture de quartiers residentiels bien agréables à vivre, avec des immeubles pas très hautes et de jolies maisons avec des jardins à l'arrière... mais au delà de cela, j'ai eu l'occasion de sortir de la ville avec Kelly pour aller à un barbecue en banlieue... Bien sure il y a de jolies maisons avec de grands terrains et des piscines dans certaines banlieues, mais ce n'est pas vraiment une région verte, rurale, boisée, ou quoi que ce soit. C'est bel et bien une région fortement industrielle.

DSC_3906Kelly n'a pas de voiture (elle n'en a pas besoin, elle vit et travaille en ville) mais elle a souscrit à un réseau de partage de voiture. Celui qu'elle a choisi est géré par un oragnisme à but non lucratif dont le but est de protéger l'environnement. Elle paye 75$ d'inscription la première année, puis 25$ de renouvellement par an, pour pouvoir utiliser à sa guise les voitures du réseau. Elle peut utiliser ces voitures en les liuants à l'heure, ou en prenant un forfait horaire d'utilisation par mois, mais quoiqu'il arrive elle n'a plus rien à se soucier : l'assurance, les réparations, l'entretien,... et même l'essence, tout est compris dans le service. Les voitures sont garées à des endroits précis. Elle en réserve une pour un créneau déterminé sur internet, et avec un système de carte elle peut ouvrir la voiture et récupérer les clés. Sympa, non ?
J'avais entendu parlé de ce système à Montréal aussi. Mais je ne l'avais jamais vu avant. Je trouve que ce serait une idée à copier...

A Chicago j'ai perdu deux choses qui m'étaient chères et je ne sais pas comment. Dès le premier soir, quand nous sommes rentrées chez Kelly après avoir bu un verre avec une amie à elle, je n'ai plus retrouvé ni ma bague en bois gravée d'une spirale que je portais tout le temps depuis qu'Anja me l'avait offerte (valeur sentimentale énorme)... ni la batterie de rechange de mon appareil photo qui a du glisser du sac de mon appareil lors d'une manipulation car je l'utilise aussi comme sac à main (j'y met mon argent, mon passeport etc...)... ce qui constitue une perte plus financière, car une batterie rechargeable d'appareil photo cela coûte quand même 75 euros... soit 100$. Enfin. Rien de grave... je n'ai pas encore perdu ma tête.

Continuum_detail

Le vendredi soir de ma semaine passée à chicago, Kelly, et une amie à elle, Tracy, m'ont emmennée voir une pièce de théâtre : In Continuum, écrite par deux commédiennes, une afro-américaine et une africaines, qui se sont rencontrées lors de leurs études de théâtre à New York, Danai GURIRA et Nikkole SALTER. La pièce porte sur le thème du SIDA tel qu'il peut être vécu par deux femmes qui vivent dans deux mondes très différents : une journaliste africaine, et une jeune femme désoeuvrée états-uniennes. Chacune des deux comédienne interprète donc le rôle d'une de ces deux femmes qui font face chacune au même drame : on leur apprend qu'elles ont le SIDA. Mais les deux femmes ne se rencontrent jamais physiquement, même si dans les dialogues il y a une sorte d'écho et de résonnance, et que dans la mise en scène les deux femmes interagissent symboliquement, particulièrmeent dans les trnaistions entre les scènes. Les comédiennes d'ailleurs ne jouent pas que ces deux personnages car elles entrent dans la peau de toutes les inerlocutrices des deux femems chacune dans leur univers, chacune dans leur enfer. Le texte est magnifiquement poétique et touchant. Il y a bien sure certainement bien des subtilités de la langue qui ont du m'échapper, mais la mise en scène et les comédiennes éateient criantes de vérité, de sensibilité, très émouvantes... et j'ai été touchée, impressionnée, convaincue par ce spectacle. Convaincue de quoi d'ailleurs, je ne sais pas, car elles ne propose rien... elle exprime juste une détresse, une urgence, un état des choses, une réalité... elles la dénonce. Mais vraiment cela a été une expérience très enrichissante que de voir cette pièce de théâtre, dans qui plus est une très belle salle du centre ville de Chicago. Que d'émotions...

DSC_3934Le samedi cela a été la journée filles. L'après-midi nous étions invitées à un barbecue entre filles (pendant que les hommes étaient au golf) chez une amie de Kelly en banlieue, Monica, enceinte de sept mois. Et à midi nous étions invitées à un Brunch à la terrasse d'un café tout proche de chez Kelly... c'est là que j'ai rencontré Angela, Sophia, Editha, Shereen, et retrouvé Tracy qui nous avait emmené au théâtre la veille et invitée à manger au restaurent (cuisine moderne asiatique délicieuse soit dit en passant... une salade de calamars fris énorme et succuelente !). Les conversations sont allées bon trains, et sont passées de commentaires pouvant être jugés ultra superficiels sur les stars et sur combien, la bad-smart-girl Angelina Jolie est un bien meilleur parti pour Brad Pitt que la très girl-next-door Jennifer Aniston... à des propos bien plus sérieux, enagagés, et très critiques sur la politique du gouvernement Bush et sur la nécessité d'éjecter tout candidat républicain aux prochaines élections.

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Il faut dire que l'ensemble de ce séjour à Chicago aura été un véritable régal culturel et intellectuel car tous les amis de Kelly sont des gens ouverts, curieux, interessants, progressistes, et largement auto-critiques sur leur propre pays. J'en reviens franchement rassurée sur la culture états-unienne... un peu comme après avoir vu le documentaire Kings of the World, mais en mieux, en vrai. Je suis rassurée.
Il n'y a bien que les médias et le gouvernement aux États-Unis qui soient détraqués à ce point. Mais la question du coup qui me vient, étant donné le système électoral des présidentielles aux Etats-Unis qui permet facilement à un candidat médiatiquement habile d'être élu sans la majorité des éelecteurs mais juste la majorités des grands électeurs, et éatant donné l'ultra efficaité du système médiatique ultra libéral qui permet à ceux dont les intérêts financiers sont en jeu de décider de la politique des candidats qu'ils ont choisi au détriment des citoyens américains... je me demande si les états-uniens, tous ces états-uniens qui résistent, désapprouvent la politique américaine actuelle, et en patissent en grande partie, s'ils ont encore un quelconque pouvoir démocratique ou électoral de changer les choses et de chosir l'avenir qu'ils souhaitent !? That is the question !
Le hic dans ce système (et c'est la même chose dans une moindre mesure en france) c'est que la politique ne se soucie plus d`être représentative, ou même idéologique... elle se contente d'être une stratégie médiatique en fonction d'intérêts industriels et économiques. Et elle le fait au nez et à la barbe des citoyens. Ce n'est pas nouveau, mais cela devient extrême, parce qu'elle s'éloigne vraiment de nous, nous méprise. Au point que ceux qui sont bien intentionnés, veulent vraiment défendre les intérêts des citoyens, sont obligés de jouer ce jeux de relations de pouvoirs et d'image médiatique... à en devenir schyzophrène... voire à se compromettre pour arriver à ses fins, fussent-elles justes. La fin justifie les moyens ?
Personnellement j'aurai tendance à être radicale sur ce point, et à (vouloir) croire qu'une fin juste requierts des moyens humeinement aussi justes. Mais bon. Il semble que le mot politique ait été littéralement dépossédé de son sens premier : "qui concerne les citoyens", "polis" venant du grec "cité", et le suffixe "tique" en français désignant ce "qui se rapporte à".
En fait, aux Etats-Unis, plus que partout ailleurs où je suis allée, j'ai le sentiment qu'il ya d'une part les gens (the people), le peuple, et d'autres part ceux qui les gouverne, les contrôle, règlemente, ordonne, décide... et non pas POUR le peuple, mais CONTRE. On est pas loin de Big Brother en fait. Et la paranoïa (et le rejet) que certains états-uniens développent à l'égard du gouvernement et de sa supposée volonté de nuire à l'individu, de l'utiliser, le manipuler, le surveiller, lui enlever sa liberté... n'est pas complètement infondé.
Mais les états-uniens en eux-même, les gens, dans le fond, ne sont pas tellement difféerents de vous et moi. La très grande majorité de ceux que j'ai rencontré en tout cas sont ultra lucide, éveillés, conscients du problème qui se pose à eux.
C'est ça qui me rassure.

DSC_3952Le dimanche c'était Father's Day (la Fête des Pères), et en plus téléphoner à mon papa chéri dans des conditions déplorables car la communication était d'une qualité catastrophique : j'entendais à peine et devinais difficilement ce que me disais mon père (mais lui m'entendais très bien), j'ai eu l'honneur d'être conviée à déjeuner au restaurent à midi avec la femille de Kelly. J'ai ainsi rencontré son père, sa mère et sa soeur. C'est amusant car son père est originaire de la Louisiane et que tous ils passeraient sans problème pour des antillais... beaucoup plus que la plupart es afro-américains que j'ai rencontré.
Le déjeuner éatait délicieux encore une fois (qui a dit que les américains ne savaient faire que des hamburgers dégueulasses). Et le soir j'ai entraîné Kelly à la plage sur les bords du Lac Michigan (car Chicago est au bord d'un Lac et au confluants de plusieurs courts d'eau). J'ai pris un bain dans le lac. La température était agréable, si je ne restais pas trop immobile. Par contre j'ai du marcher très loin pour pouvoir immerger mon coprs sans avoir l'impression d'être dans une pataugeoire, et je me suis baignée à un endroit où il n'y avait pas grand monde alors forcéement quand le surveillant de la plage m'a vu, il m'a sifflé et appellée pour que je revienne dans son périmètre de surveillance... alros je suis rotie. Je déteste les plages surveillées.

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La plage où nous sommes allées est toute proche d'un quartier hispano et elle était bondée d'hispanos venus avec tout le tintouin pour pique niquer toute la journée (tables, chaises, relax, hamac, filet de voley-ball, grill, radio, glacières, etc... etc...). Ça sentait la grillade de partout et comme nous étions en fin de journée le sol était jonché d'ordures, les poubelles débordaient... Moyennement agréable. Mais bon nous avons regardé le coucher de soleil sur la ville et puis nous sommes rentrées en bus.

season04_ep34Pendant mon séjour chez Kelly j,ai aussi beucoup regardé la télévision. Y a-t-il meilleur moyen de connaître la culture d'un pays qu'en regardant ses programmes télé ? En fait, pendant la journée, quand Kelly était au travail, je passais mes matinées à regarder la télé, et mes après-midi à explorer la ville, avant de la retrouver quelque part et de sortir ailleurs avec elle. Elle est abonnée au cable, elle dispose de centaines de chaines, pour la plupart thématiques, mais aussi des chaînes où l'on peut regarder des films ou des séries à la demande. homepage_postpremiere2007J'ai ainsi regardé près d'une dizaine de films en une semaine... aucun de très marquant. Mais surtout j'ai découvert sur HBO la série Curb your Enthousiam de Larry David (l'auteur et créateur de la série Seinfield)... d'un cynisme savoureux !
Et aussi une sorte de talk show politique qui s'appelle Real Time with Bill Maher, du non de son présentateur, qui reçoit des célébrités et des hommes politiques et traite avec humour et critique l'actualité.
Bref... il n'y a pas que la FOX aux USA, et d'ailleurs toutes les personnes que j'ai rencontré ont déclaré ne jamais regarder la FOX, et certaines même m'ont avoué qu'elle ne regardaient plus les infos made in USA, et que si elles voualient s'informer de ce qui se passe elles préféraient les news de la BBC... C'est fou, non ?

Voilà pour mes aventures culturelles à Chicago. Je dois ajouter à cela que cela a été un véritable bonheur de retrouver Kelly, que je n'avais pas revue depuis juillet 2001. Nous nous sommes rencontrées pendant l'année scolaire 2000-2001, ma première année à Paris, et de colocation avec Mélanie. Je travaillais au lycée Brassens de Courcouronnes près d'Evry DSC_3980en banlieue parisienne comme emploi jeune, et elle y étais assistante d'anglais. Nosu avons sympathisé, et avons passé beaucoup de temps à faire la fête à Paris où elle habitait comme moi. Je lui ai présenté mes amis, et elle a même passé quelques semaines de vacances à Bordeaux chez Julie ma soeur l'été suivant avant de repartir aux Etats-Unis. Et puis nous étions juste restées en contact par email, épisodiquement. Mais Kelly a fait chemin entre temps, à travers ses études, son travail, ses expériences, sa réflexion (et peut-être moi aussi), qui nous a vraiment rapprochées. Nous n'avons pas seulement repris notre relation là où nous l'avions laissée, nous partageons aujourd'hui encore plus de choses qu'à l'époque.
Résultat, quand elle m'a demandé de prolongé mon séjour à Chicago, et qu'en plus je ne trouvais pas de canapé où sufer à New York, ma destination suivante, c'est avec plaisir que j'ai reporté mon départ de deux jours. Et si j'avais pu je serais restée plus longtemps. Mais je ne suis sure qu'il ne passera pas 6 ans de plus avant que nous nous revoyons. Je vais m'arranger pour que ma route repasse par Chicago.
En plus Kelly m'a reçue comme une reine. Ses amis aussi d'ailleurs. Je n'avais pas un sou en poche et ils ont tout pris en charge pour moi, sans que je ne demande quoi que ce soit, comme si c'était normal, ce qui m,a rendu un fier service, car j,ai pu ainsi ne pas zapper NYC mon étape suivante, et en profiter un peu, sur les trois jours qui me restaient...
Enfin. Un peu... BEAUCOUP !
Mais bon ça, je le garde pour mon message suivant.

Voili, voulou.

PS : il manque des photos pour illustrer ce message mais j'ai du mal à les télécharger depuis le poste de la bibliothèque alors cela attendra que j'aille au cyber café... Patience...
28/06/07 : Photos ajoutees !!!

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