Arrivée à Pereira.
J'informe ceux qui
avaient mes numéros de téléphone en Colombie que plus aucun n'est
valable : le Tigo est périmé (j'ai laissé passer les quatre mois de délais pour le recharger), et le Comcel m'a été volé dans le bus à
mon arrivée à Pereira. FUCK Flotta Magdalena : je suis sûre que c'est
les gars du bus qui l'ont gardé quand ils l'ont trouvé car ils l'ont éteint, technique classique...!!!, en supposant qu'il ait glissé de ma poche, comme cela arrive souvent... Ou peut-être était-ce le mec chelou à côté de moi qui a profité de la seule demi-heure où j'ai dormi sur la fin pour me le voler... en effet, j'ai résisté au sommeil du mieux que j'ai pu (j'avais dans mon sac avec moi deux appareils photos réflex, ma flûte traversière, mes deux disques durs externes, mon Ipod, mes diplômes, tous mes papiers...) et le bus a été ralenti par un embouteillage nocturne sans doute lié à un dérumbe sur la route entre Ibague et Pereira, alors il s'arrêtait et redémarrait toutes les quinze minutes... Conclusion, j'ai perdu tout mon répertoire téléphonique, et je ne suis pas joignable
! Il y a bien mon email, MSN et Facebook pour me joindre, mais comme je
n'ai pas d'ordi... je ne risque pas de me connecter beaucoup. Quelques
uns ont la chance d'avoir mon numéro de téléphone fixe : ils peuvent
essayer, peut-être que je serai à la maison ! Précision : je ne pense
pas me racheter de puce de téléphone portable... j'y réfléchie... on
verra...
Sinon eh bien mes 24 heures express à Bogota m'ont quand même permis de voir trois amis avec qui j'ai passé de très bons moments... et à mon arrivée à Pereira à 6h du matin il faisait 17°C, juste ce qu'il me fallait !
Voili, voilou.