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Qui m'aime me suive...
13 décembre 2007

Le chat qui vit chez nous.

DSC_1069

Je vous présente Lulo (du nom du fruit), le chat qui vit chez nous. Il traînait au lycée oú nous travaillons un matin. Alors Guillqume l'a ramené à la maison. Pensant faire une bonne surprise à Virginie qui avait parlé de l'adopter. Tous les deux avaient exprimé le désir d'avoir un chat, et Jérémy et moi n'y voyions aucune objection... Bref. Ce chat semble n'appartenir à personne. Ce sont bien son papa (Guillaume) et sa maman (Virginie) qui s'occupent de lui principalement. Moi, je ne participe qu'à l'achat des croquettes et de la litière (Jérémy s'y refuse). Mais nous partageons tous ses puces. Ce sont ses parents adoptifs qui l'ont emmené à la SPA locale pour qu'il reçoive les soins vétérinaires requis, et c'est ainsi que nous avons su qu'il avait trois mois et des poussière, malgré sa physionomie chétive au moment oú nous l'avons accueilli chez nous (nous croyons qu'il avait un ou deux mois). Depuis qu'il vit avec nous, il s'en met plein la panse... et il a bien forcit. Depuis une dizaine de jours, ses parents ont une légère tendance à le laisser à la porte de la maison quand ils partent au travail ou vont se coucher... alors qu'au début il n'avait pas le droit de sortir de la maison... Sa litière aussi est un problème parce que le bac dans lequel nous la mettons n'est pas très profond et qu'il la projette aux quatres coins de la cuisine quand il y creuse un trou.... enfin qu'il gratte le fond en plastique du bac ! Ses parents, et même Jérémy, jouent avec lui, et semblent déjà avoir établit un rapport affectif avec l'animal (il squatte sans cesse la chambre de Jérémy et adore remverser le cendrier de ce dernier sur son lit). Pour moi, vous me connaissez, il en faut plus pour que je me mette à parler à, ou avec un chat,... à simuler une interaction communicationnelle juste pour mieux projeter des carences affectives complètement humaine inappropriée à un rapport avec un animal. Mais bon. Il est là, et à part ses puces, il ne me dérange pas. Je ne le chasse pas de ma chambre. Quand ses parents oublient je le nourris. Quand je fais le ménage, je peux éventuellement être amenée à vider sa caisse des crottes durcies de leur bain de sable parfumé... Mais je ne sais pas pourquoi, moi, il ne me griffe pas le visage, ne m'attaque pas les chevilles, et ne vient pas miauler dans mes pates quand il a faim... allez comprendre pourquoi ! (Je crois qu'il a compris à qui il avait affaire)

Voili, voilou.

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