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Qui m'aime me suive...

12 octobre 2014

Inconnue à cette adresse ?

Cherchez moi sur Blogger ou sur Tumblr... je suis toujours siemprecha.

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14 mai 2012

Changement d'adresse

Voilà des mois que je ne publie plus rien depuis des mois...
Je ne pense pas reprendre avec la forme sous laquelle j'ai toujours fonctionné.
Je vais bientôt créer un nouveau blog, différent, moins fourre-tout, plus épuré.
Je vous tiendrai au courant.

Qui m'aime me suive...
Merci de m'avoir lu.

Voili, voilou. 

23 octobre 2011

Enfin des vacances ! Vivement les prochaines !!!

 

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Il y a eu les deux mois de vacances : à galérer pour réunir trois francs six sous en donnant quelques cours particuliers, puis les deux semaines bien méritées de break au bord de la mer, côté Pacifique (c'est chouette, super sauvage, loin de tout, mais c'est quand même pas aussi ressourçant que la mer Carïbe qui manque toujours autant). Puis il y a eu la rentrée scolaire comme prof de français au lycée français : beaucoup de travail, mais quel bonheur, d'avoir enfin trouvé mes marques, de me sentir enfin capable de changer les choses, d'appliquer mes stratégies pédagogiques, même dans une institution aussi figée que l'Education Nationale. En plus j'ai dû assumer la fonction de prof de philo pendant un mois et demi : cela a été un vrai plaisir, mais une grosse charge de travail en plus pour moi. Finalement un collègue est arrivé il y a quinze jours : il est breton, comme toi !!! Et puis j'ai dû mettre fin aux cours et diverses responsabilité que j'avais à l'Alliance Française, car en acceptant le contrat au lycée, j'ai obtenu un autre type de visa, qui me lie exclusivement au lycée, et m'interdit toute activité professionnelle pour d'autres entreprises. Là je suis en vacances, depuis vendredi midi. Et je devais avoir besoin de sommeil car j'ai fait deux énormes nuits, entre vendredi et aujourd'hui. Ce qui est bien c'est que j'ai déjà pris le rythme au lycée : préparartions et corrections sont à jour, donc ce sont de vraies vacances. Dès que je serai payée mardi, je pars quelques jours à la mer, Caraïbe cette fois, et puis je commence déjà à penser comme tous les profs de l'Education Nationale : c'est quand les prochaines vacances scolaires ? le prochain pont ? Ceci dit, en semaine scolaire, et même les week-end normaux, je travaille sans discontinuer, alors les vacances sont bien méritées. Je pense depuis un moment déjà reprendre mes études (en philosophie), l'écriture et le cinéma, mais je pense que ce sera plutôt documentaire et anthropologie.

Côté jardin, moi je fais pousser du basilic, du thym, du romarin, du persil et de la ciboulette sur mon balcon. Et avant hier soir j'ai planté des graines "papaye" que m'a donné un ami de Bogota (pour la beauté de la plante évidemment...). Je suis allée deux jours dans la capitale pour rendre visite à deux amis français qui vivaient ici et se sont exilés pour un meilleur salaire au lycée français de Bogota (non pas qu'ils vivaient mal ici), et j'en ai profité pour voyager au retour avec presque douze kilos de fromage à raclette que m'avaient commandé tous les amis d'ici Pereira : près de Bogota il y a un suisse qui le fait lui-même, il est délicieux.

A part ça, pour l'instant mes préoccupations sont plutôt matérielle : changer d'ordi, car le vieux PC que m'a refilé Julie il y a un an et demi et qui a déjà 6 ou 7 ans menace de me clamser dans les doigts d'une seconde à l'autre. Mais je n'ai vraiment aucun motif de me plaindre : le salaire de prof au lycée est confortable. Petit à petit je rembourse mes dettes. Et très vite je vais pouvoir faire des projets, des vrais. Evidemment, ils sont déjà faits dans ma tête, mais disons que je vais pouvoir plus facilement passer à l'action, comme je le fais déjà dans mon activité de prof au lycée, avoir toute la satisfaction que cela apporte de voir comment les rêves en actions, cela fonctionne, ce n'est pas un leurre, ni une illusion. Bien sûre, il y a les choses tristes de la vie : les blessures, les séparations, les incompréhensions, mais je crois qu'il faut apprendre à prendre tout cela avec philosophie, distance, apprendre à relativiser. Tout contient un enseignement, et rien n'est un drame dans l'absolu.

Il me semble que nous avons le devoir de faire essentiellement ce que nous désirons, au-delà évidemment de ce que nous sommes obligés d'assumer, mais qui finalement n'est pas tant que ça, quand on s'organise bien. Je crois que j'ai trouvé ce compromis : faire ce dont j'ai envie, et accepter ou intégrer comme naturel ce que je suis obligée d'assumer afin de ne pas le vivre comme une contrainte. C'est ça, finalement, la liberté, non ? C'est la vie sans contraintes (les contraintes étant converties en devoirs), c'est une vie de devoirs assumés, compris et inclus à la vie, au point qu'ils se confondent avec nos désirs accomplis et nos rêves réalisés.

Voili, voilou.

23 octobre 2011

Fin juin : ma vie en bref...

De mon côté en bref :
- j'ai été embauchée au lycée français, je commence en septembre, prof de français (j'avais démissionné de ce même poste il y a trois ans), j'aurais au minimum les premières et une seconde, peut-être aussi des petits (collège), je suis hyper contente,
- j'ai préparé (sans trop étudier) et passé un diplome de prof de FLE > résultats mi juillet, sympa, ça me permet en fait de valider par un diplome ce que je fais depuis trois ans à l'alliance,
- je suis toujours dans l'appart à Jardin et j'y suis de plus en plus confortable : je m'installe et je m'ameuble au fur et à mesure (je fabrique moi-même certains meubles),
- j'ai arrêté de jouer les bonnes poires à l'Alliance française : maintenant on me paye pour tout ce que j'y fais, c'est à dire donner des cours et m'occuper du site web de l'alliance,
- j'ai dû fermer l'Estaminet car en février le renouvellement de mon visa m'a été refusé sous prétexte que je figurais comme entrepreuneur sur le certificat de la chambre de commerce, j'ai dû revenir à Pereira, fermer l'Estaminet, retourner à Bogota, et j'ai obtenu de nouveau le visa de travailleur indépendant, L'Estaminet maintenant appartient et est géré par les filles qui bossaient avec moi, ce n'est pas pareil, mais au moins elles ne perdent pas leur emploi et l'Alliance ne perd pas sa cafétéria,
- j'ai colocataire anglaise, elle voyageait par ici, elle s'y est plu, et y reste pour l'instant, elle donne des cours d'anglais et comme ça je repratique mon anglais, c'est cool,
- j'ai pris le témascal deux fois : c'est une cérémonie de sudation spirituelle d'origine Maya... cela soigne et purifie... moi qui déteste le hammam, j'avoue que j'ai un peu de mal à m'y faire, mais cela m'a conduit à des rencontres très intéressantes,
- je me suis réconciliée avec une amie qui ne me parlait plus depuis presque dix mois : cela a été un des moments des plus émouvants de ma vie, d'autant que je n'avais jamais compris pourquoi elle s'était enferrée dans ce mutisme et pourquoi elle avait coupé les ponts avec moi, mais elle a été capable d'une transformation d'elle-même impressionante et a su revenir vers moi, ce dont je la remercie,
- j'espère toujours pouvoir monter mon projet de ferme-commaunautaire-bio-école... l'idée en bossant au lycée, c'est justement d'économiser dans ce sens, et puis j'ai revu complètement, et à la hausse, ma stratégie pédagogique, et je pense expérimenter pas mal de trucs là-bas...

Sinon eh bien tout va bien. Les choses bougent, changent, évoluent petit à petit, dans le sens du bien, de la libération, du mieux...

Je me plais définitivement ici.

Voili, voilou.

3 mars 2011

J'♥ les hamburgers de chez Corral !

Je suis rassurée d'apprendre de source journalistique dans le journal El Tiempo que les hamburgers de l'excellente chaine de fast-food colombienne El Corral ne sont pas fait avec des vers-de-terre élevés hors sol... mais bien avec du boeuf !!! Cela fait partie des 15 légendes urbaines les plus répendues et persistantes de ce pays... ^^ Vive El Corral !!!

Et voici un autre article qui présente le succès de l'entreprise :

El Corral: Hamburguesa de Colombia para el mundo

gran6184La cadena con el verdadero sabor a hamburguesa 100% de res, a finales del presente año planea entrar en el mercado argentino por medio de su franquiciario chileno, Pedro Cuevas, quién ha logrado introducir el concepto colombiano en el mercado austral.

El primer país internacional en disfrutar el sabor de altísima calidad de El Corral fue Panamá, seguido de Chile y Ecuador. Con estas aperturas, El Corral ha logrado consolidar su imagen en mercados que lo preparan para expandirse primero por América Latina y luego a nivel mundial. Además de la franquicia de Buenos Aires a cargo de Cuevas, la cadena anunció tener negociaciones adelantadas con empresarios mexicanos, peruanos y de otros países; interesados en llevar El Corral a sus países. Esta compañía, una de las de mayor crecimiento y mejor imagen en Colombia, abrió su primer local en 1983 al frente de la Universidad Javeriana, y hoy tiene ya más de 80 restaurantes propios en todo el país. En Colombia, El Corral ha entrado también al negocio de la cerveza artesanal con Beer Station, una nueva cadena que lleva pocos años en el mercado, pero ya tiene tres bares, dos en Bogotá y uno en el municipio de Chía, a quince minutos de la capital del país.

(Source : elTormo.com, revue spécialisée sur les franchises en Colombie)

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3 mars 2011

Maniac-itude.

Tu sais que tu es maniac quand tu vas à la cuisine à 2h du matin pour boire un verre d'eau, que tu en renverses une goutte sans te rendre compte, que tu marches dedans pieds nus, que ça salope tout, que tu sors la serpillère pour nettoyer les traces faites sur le sol tout propre de la veille, et que tu finis à 2h30 en train décaper le four...

MA SOEUR - LooooooooOoooooooooool Ok, ça c'est dit! She's crazy!!! :)

MOI - J'extrapole, évidemment.

MA SOEUR - Humm, sûre ? ^^

MOI (en même temps) - Mais j'ai quand même passé un coup de balai espagnol qui était encore humide de la veille...^^

MA SOEUR - Hihihi, ok: tout va bien!

MOI - Evidemment, le four avait été décapé la veille ! Quelle idée !!!

MA SOEUR - Je n'en doute pas! M'enfin!!!

UN AMI - J'ai déjà vécu ça...c'est horrible le moment ou tu réalises ton degré de "manic-itude".

UNE AMIE - Tu fais ça toi ??? Je me croyais manique, me voila rassurée !!!

MA MERE - Astuce ménage : y a qu'à se laver les pieds pour ne pas resalir le sol!

UN AUTRE AMI - Mouarffffff !!!!

MOI - Moi je suis maniac par paresse... ça prend moins de temps de laisser les choses rangées et propres qu fur et à mesure, que de les nettoyer et ranger à fond une fois tous les mois ou tous les trimestres. D'ailleurs récemment, je me suis un peu laissée allée, débordée par le travail, et résultat ça m'a coûté 4h de travail intensif dimance dernier. Evidemment, se laver les pieds, c'est l'attitude du paresseux intelligent qui ne anticipe les conséquences désastreuses de sa possible négligence...^^ Tout un état d'esprit. Le côté positif de la chose ? Je ne me stresse jamais pour le désordre ou la saleté (contrairement aux maniacs, les vrais). Cela ne m'affecte pas. Et les autres peuvent foutrent le wild chez moi, je ne dis rien, je ne leur en veux pas, ils sont libres. Je dissimule habilement ma "maniaquerie" même si quand on entre chez moi elle est assez évidente...^^

3 mars 2011

La pluie et le beau temps...

Click for Pereira, Colombia Forecast

3 mars 2011

Visa 2011, le renouvellement - épisode 3 et fin.

J'♥ pas Bogota : arrivée 5h du matin, départ 12h20 !!! Qui dit mieux ?

Et entre temps : petit dej au terminal, taxi jusqu'au Ministère, queue dès 6H30 devant le Ministère dans le froid en tongues, entrée en 10ème position à 7h30, dossier remis en main propre à l'agent vers 7H45, 8H11 on m'appelle pour me donner le bon de paiement du VISA, 8H30 il est payé, 9h j'ai le visa en main, 9h05 je suis dans l'agence d'Avianca qui est à une cuadra du Ministère, 9h10 j'ai le billet d'avion en main et je monte dans un taxi direction l'aéroport, 9H30 j'arrive à l'aéroport, suivent 3h de lecture-musique, 13H22 l'avion atterit à Pereira, 13H35 je suis chez moi !!!

3 mars 2011

Le stress de l'étudiant salarié !

J'♥ avoir terminé ma participation aux forums obligatoire et non notés de ma formation à distance de prof de FLE... maintenant le compte à rebours commence : plus que 117 séquences à étudier (sur 143), soit 300h d'étude en théorie, mais 125h à son rythme, le tout à finir avant le 30 mars, jour de cloture pour rendre les devoirs obligatoires et notés eux !!! ^^

3 mars 2011

J'♥ poker !

J'♥ poker mais se dit que c'est dommage qu'on ne puisse pas poker tant que le poké n'a pas repoké... en effet, même si on repoke, si le premier poke envoyé n'a pas été éliminé ou retourné, le nouveau poke ne s'affichera pas pour s'accumuler et donner une série de poke illimité...^^

3 mars 2011

Les fantômes n'existent pas !

...et un jour, tu ouvris les yeux, avant la lueur de l'aube, et ton rêve t'avait montré sa face cachée, son coeur de pierre, et ce visage monstrueux, déformé par l'orgueil, l'aridité de son âme... Tu sus ce jour-là que plus jamais il ne reviendrait te hanter, qu'il était mort, parce qu'à le voir enfin, tel qu'il est, il s'était instantannément désintégré, et ton coeur, spontanément, renaquit de ses cendres.

3 mars 2011

L'Estaminet est mort ! Vive l'Estaminet !

L'Alliance allait me racheter l'Estaminet !!! Que je croyais... en fait ils s'en sont passée des choses en une semaine. Ce mardi là, à 14h30, le directeur disait vouloir que l'Alliance rachète l'Estaminet (ce qui serait logique, c'est bien le seul bénéficiaire de cette activité). A 15h30 il déclarait ne pas pouvoir pour des raisons d'incompatiblité de comptabilité (celle de l'Alliance est toute informatisée depuis un mois, et nous à l'Estaminet on fait tout sur du papier...).

Finalement, c'est le lendemain soir, en discutant sur le chat de Gmail avec ma soeur et ma maman, que j'ai eu l'idée... Donner l'Estaminet aux seules personnes qui en ont besoin : celles qui y travaillent. L'une des deux étant déjà sous le poids de lourdes responsabilités, c'est à l'autre qui étudie le commerce, que je propose de reprendre l'Estaminet. Je lui prête gracieusement tout ce qui est à moi, et elle s'occupe de la gestion, et se paye avec les bénéfices, si un jour il y en a.

De toute façon j'ai injecté 600.000 pesos pour la reprise du resto début février et il y a des stocks pour un moment. Février s'est bien passé malgré une activité très faible au niveau des cours de l'Alliance.

Alors je le lui propose. Elle accepte tout de suite.

Le lendemain, l'Alliance accepte mes conditions : le même contrat pour la repreneuse que pour moi, c'est-à-dire pas de loyer, pas de charges, et même mieux, pas de service de vigil (puisque l'Estaminet ne va plus ouvrir en dehors des horaires de l'Alliance), pas d'assurance (puisque l'Estaminet ne possède rien... tout est à moi).

Bien des choses restent à négocier, et au bout du compte, j'ai quand même tout perdu, mais au moins ces deux emplois sont sauvés. Et l'Estaminet continue...

 

Voili, voilou.

 

3 mars 2011

Visa 2011, le renouvellement - épisode 2.

Lundi 21 février 2011

Pereira-Bogota : 7h de bus. Et je n'ai jamais mis plus. Alors tout ceux qui dramatisent peuvent aller se rhabiller. Ou alors c'est que vraiment j'ai la chance du voyageur... Résultat, maintenant, 5h00 du matin, et il me reste 2h30 à attendre dans le froid de Bogota que le bureau de "Visas e inmigraciones" ouvre. J'aurais dû prendre celui de 23h...

Bogota-Pereira : 1h de vol, 136.000 pesos, voyage sans baggages, opinel confié à Julie (une amie partie le même jour en avion mais avec des bagages en soute) pour que la douanière de me le confisque pas, ciseaux d'école confisqués, cuter non... une vue imprenable sur les Nevados, super découverts, un régal.

Entre les deux, 7H30 ouverture des portes du bureau des visas, 7H45 dossier remis au guichet... attente... 9h20 : on m'appelle, la dame tient mon dossier en main, c'est mauvais signe, en effet, ma demande est refusée, mal formulée, je dois la revoir...

10h : je rejoins Julie, Daniel et Martial et je pars avec eux (qui sont en vacances) me changer les idées tout l'après-midi : nous allons visiter Zipaquira et sa cathédrale de sel. Formidable. Mis-à-part les trajets en Transmillenio (réseau de bus qui circule sur des voies réservées à Bogota) : une horreur.

19h30 : soirée avec les mêmes plus Javier qui nous rejoint au BBC (Bogota Beer Companie) dans la zona Rosa. Je décide de rester le soir : je passe la nuit à l'auberge de jeunesse où sont descendus mes amis. Je repartirai le lendemain.

 

Mardi 22 février 2011

Petite équation résolue : en tant qu'étrangère, je ne peux pas être et professeur de français indépendante, et entrepreneure propriétaire d'un petit restaurent (qui ne me rapporte rien mais fait vivre deux personnes).

Si je suis prof, je demande un VISA TS Travailleur indépendant et c'est facile. Si je possède un resto, je dois demander un visa TS socio-propriétaire >>> et donc déclarer un capital minimum de 55 millions de pesos (22000€) à la chambre de commerce, et donc payer les impôts proportionnels à ce capital... IMPOSSIBLE !

CONCLUSION : depuis ce matin, l'Estaminet n'existe plus officiellement. Dans la semaine il sera vendu. La semaine prochaine, il renaîtra de ses cendres, appartenant à l'Alliance Française de Pereira !

3 mars 2011

Le tobogan aquatique de la mort !

Dimanche 6 février 2011

J'♥ le TOBOGAN AQUATIQUE DE LA MORT. Parque del Café, jardin segunda etapa, à Pereira... una locura !!! La peur de ma vie. Deux minutes de descente à une vitesse hallucinante, le corps balloté à droite et à gauche dans les virages, avec l'impression qu'il va être projeté hors du tube,... Résultat des courses, un roulé-boulé à la fin, j'arrive dans le bassin par... la tête, genou droit égratigné, genou gauche durement cogné... et je suis une grande fan de sensations fortes, de défis extrèmes, de manèges qui font peur et autre conneries inutiles qui stimulent l'adrénaline, mais celui-ci est vraiment, vraiment, vraiment IM-PRES-SION-NANT !!!!

Jeudi 3 mars 2011

J'ai toujours mal au genou...

 

Voili, voilou.

3 mars 2011

Je n'♥ pas Bogota !

Je n'♥ pas que les amis veuillent tous s'en aller à Bogota... Qu'est-ce qu'il y a à Bogota ??? Rien. Du bruit, des embouteillages, de l'insécurité, du temps perdu dans les transports, du stress, des loyers exhorbitants, des demandes d'autorisation de circuler dans le pays... Pfff...

QUELQU'UN QUI VIT A BOGOTA - C'est vrai tout ce que tu dis !

UN AMI QUI VEUT PARTIR A BOGOTA - Nicolas Cros Sans oublier les musées, les concerts, les théâtres, les expositions, les cinémas (y compris d'art et d'essai), les resto de tous types, un climat plus froid, des élèves au meilleur niveau (pas tous, certes...), des facilités pour pratiquer... les langues (dans un cadre universitaire j'entends), des magasins qui ressemblent à des magasins, un salaire presque 3 fois supérieur, une possibilité d'inspection (pour ensuite partir ailleurs)... Bref, la GRANDE ville dans toute sa splendeur !! Mais ça ne veut pas dire qu'on va y aller, hein ! On est très bien ici aussi même si...

UNE AMIE QUI VEUT PARTIR A BOGOTA - Tout comme lui, sauf le climat et le salaire ;) et je rajouterai que c'est aussi une nouvelle expérience, se confronter à un autre style de vie "la grande ville" , du changement (moi j'♥ pas la routine ;) ), de nouvelles rencontres, un vrai... groupe CS, d'autres activités, une approche du métier différente, une autre vision du pays aussi, d'autres points de vue à partager, d'autres choses à apprendre... Mais la vérité, je suis bien ici aussi, très bien même :)

UNE AMIE QUI NE VEUT PAS QUE NOS AMIS PARTENT A BOGOTA - Oui enfin comment faire sans les soirées chismes, les conneries racontees , les soirées tarot, les repas au crepes du vendredi, lespetit squat dnas la nature, les bonnes bouffes partagées ensembels?? hein vous y avez pensé atout ca?? et puis un cinéma on en a, des musées au pire un peitt coup d'avione t hop bogota et voila!!! les challenges au lycee on va vous en trouver!! la grande ville.. ok mais il pleut beacoup a bogota!! souvenez vous!! pire qu'ici et le froid!! bref tout ca pour dire !! partez pas!!!!!!!!!!!!!!!!

MOI - Les musées on peut les visiter un week-end, de même que les concerts, les théâtres, les expositions, les cinémas, les resto de tous types,... tout ça, c'est pour les vacances, et j'insiste, on profite toujours du meilleur d'une grande ville... quand y passe en vacances, et quand on y vit, on y patit du pire. Des facilités pour pratiquer les langues ? Vivre vraiment dans un pays qui parle la langue, avec les gens du pays, et ça, à mon avis, travailler au lycée français de Bogota ou celui de Pereira, c'est kiff kiff, vous allez fréquenter essentiellement des français, d'autant que les bogotanais sont bien moins amicaux qu'ici, grande ville oblige vous allez connaître la solitude, l'isolement, l'individualisme... Les magasins à mon avis c'est les mêmes à quelques exceptions près. Une nouvelle expérience ? Ouai... bof... pour avoir vécu à Paris, ...re-bof !! Se confronter à un autre style de vie "la grande ville" ? Après l'avoir vécu, je ne le souhaite à personne, et surtout pas à mes amis. Du changement ? Ils se décident, et se mettent en action là où on veut. De nouvelles rencontres ? Des français ??? Ouai... Un vrai groupe CS ? C'est sûr ! D'autres activités ? Ouai... Une autre vision du pays aussi, d'autres points de vue à partager, d'autres choses à apprendre ? Certes... avez-vous l'impression de vraiment connaître Pereira et la vie d'ici ??? Avez-vous au moins assisté à une vraie bagarre dans une vraie fête familiale de Nouvel An ???? ^^ héhéhéhéééééééééééé...

Des élèves au meilleur niveau ? Quel intérêt, quel challenge, pour un prof dont l'ambition devrait être de faire progresser des élèves ?!!! Une approche du métier différente ? Ne vous faites pas d'illusions... vous risquez de trouver plus de conformisme, plus de compétitions, plus de "cons" (logique, plus de gruyère, plus de trous !), plus de profs qui font ce métier pour le fric et pas pour les élèves et leur profession, plus de différences de statuts et donc plus de tensions dans les relations professionnelles. Un salaire presque 3 fois supérieur, ou même un peu moins, certes, mais à quel prix ? Une possibilité d'inspection (pour ensuite partir ailleurs) ?

N'allez pas croire que l'herbe soit toujours plus verte ailleurs. Et puis, on sait c'qu'on perd... Ce qu'on trouve...??? ^^ Faites ça bien pour rester dans les petits papiers de Martine et pouvoir revenir après...^^

3 mars 2011

Visa 2011 : le renouvellement - épisode 1.

Je savais déjà que mon visa expirerait le 1er février. C'est écrit dessus. Alors j'avais anticipé et essayé de contacter le Minsitère des Relations Extérieures au même numéro que l'année d'avant, numéro auquel des personnes lisant des documents tout prêts me confirmaient les informations que j'avais réussi à trouver je ne sais comment sur internet sur le site de la Chancellerie et que je n'y avais plus jamais revu ensuite. Bref, une ligne ouverte pour ce genre de question. Pas de bol, cette année, le numéro est juste un répondeur qui renvoit à une adresse email. J'envoie donc un mail pour demander des informations sur comment renouveller mon visa spécial de travailleur indépendant, mais personne ne me répond. Et ça, ça date de début janvier. Une semaine passe. Je relance. pas de réponse. Heureusement la réponse était garantie dans un délais de trois jours. Une semaine de plus. Je relance. Toujours pas de réponse. Je commence à m'impatienter. Je me rends au DAS (Dapartamento Administrativo de Colombia), organisme équivalent à une préfecture pour ce qui est des services administratifs, et à une police spéciale pour ce qui est du côté armé. Ils me disent que je dois me renseigner auprès du Minsitère. Une semaine de plus. Je relance une troisième fois, mais cette fois on est fin janvier. Alors désespérée je retourne au DAS.

‎"- Bonjour, je viens prendre des renseignements à propos du renouvellement de mon visa... voilà un moment que je passe des coups de fils à la Chancellerie : un répondeur m'indique une adresse email pour les demandes d'infos, et j'ai écrit plusieurs emails à cette adresse, et ils sont restés sans réponse malgré la garantie de réponse sous 3 jours... maintenant mon visa est expiré, que dois-je faire ?
- Pour le renouvellement vous devez contactez la Chancellerie... sinon pour le visa expiré, vous devez payer une amande, dans la journée même : 43.450 pesos !!!
- Oh merci ! Vous êtes bien aimable ! Mais pour renouveller le visa, qu'est-ce que je peux faire si je ne réussis pas à entrer en contact avec la Chancellerie ?
- Bah... allez là-bas directement à Bogota !"

Je cours dons à la banque consigner la somme requise, au passage je fais des photos d'identité aux mesures et fond colorés exigé, je dépose le tout au dit DAS, rentre chez moi, la Chancellerie m'a répondu : le renouvellement se fait comme la première demande, avec exactement les mêmes documents. Pfffffffffff.........

L'avantage c'est que l'amande payée me donne un délais de 30 jours pour faire les démarches, constituer le dossier, aller le présenter à Bogota. Réécrire une lettre de motivation, actualiser mon CV, photocopier toutes les pages de mon passeport, mes diplômes et leurs traductions, imprimer mes relevés de compte en France et en Colombie, organiser une présentation de mes revenus car 95% m'est payé en espèce et rien ne figure sur mes comptes...

Voili, voilou.

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